Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver! 😀 Aujourd’hui, j’ai envie de partager avec vous une facette essentielle de mon univers : mon amour pour l’Irlande et ses traditions, notamment le pull d’Aran. Cet attachement profond a même inspiré le nom de mon entreprise, Claddagh and Co, un hommage au célèbre anneau Claddagh irlandais, symbole d’amour, de loyauté et d’amitié. Dans cette quête de célébrer l’Irlande à travers mes créations, j’ai découvert une source d’inspiration: le pull Aran, un incontournable de l’artisanat irlandais.
L’histoire fascinante du pull d’Aran
En premier lieu, originaire des îles d’Aran, situées sur la côte ouest de l’Irlande, le pull Aran est bien plus qu’un vêtement. Autrefois porté par les pêcheurs locaux, chaque pull était unique, tricoté à la main avec des motifs distinctifs qui racontaient une histoire. Ces motifs, comme les câbles ou les losanges, symbolisaient souvent des valeurs telles que la prospérité, la chance ou la protection. D’ailleurs, chaque famille des îles possédait ses propres motifs, permettant même d’identifier un pêcheur disparu en mer. Aujourd’hui encore, cet héritage reste gravé dans chaque maille et fait du pull Aran une véritable œuvre d’art.
Pourquoi le pull d’Aran m’inspire
Depuis que je sais entretenir des pulls en laine de manière efficace, je n’ai plus peur d’approfondir mes connaissances sur cette matière brute. En tant qu’artisane passionnée par le travail de la laine, le pull Aran est une source d’inspiration incontournable. En effet, son mariage parfait entre tradition et fonctionnalité reflète l’esprit de Claddagh and Co. Tricoter un pull Aran, c’est tisser une histoire, préserver un savoir-faire et célébrer des valeurs intemporelles. Sa confection manuelle, avec une laine naturelle, incarne tout ce que j’aime dans l’artisanat. Et bien sûr, ses motifs emblématiques ne cessent de m’inspirer pour créer des produits qui allient élégance et authenticité.
L’élégance et le confort
Au-delà de sa beauté visuelle, le pull d’Aran offre également un confort inégalé. Fabriqué à partir de laine naturelle, ma matière de prédilection, il est à la fois chaud, doux et respirant. C’est pourquoi celà en fait le compagnon idéal pour les journées fraîches d’automne et d’hiver. De plus, sa coupe classique et sa polyvalence en font un choix parfait pour toutes les occasions, que ce soit une promenade en bord de mer ou une soirée décontractée entre amis.
Conclusion
Si, comme moi, vous êtes fascinés par l’artisanat irlandais, le pull Aran est un bel hommage à ce riche patrimoine. J’ai à cœur de rendre hommage à cette tradition à travers mes créations, qu’il s’agisse de tricots à la main ou d’accessoires inspirés des motifs celtiques. Le pull Aran n’est pas qu’un vêtement : il est un symbole de résilience, d’identité et de passion. Il incarne tout ce que j’aime dans l’artisanat et ce que je souhaite partager avec vous à travers Claddagh and Co. Alors, prêts à embarquer avec moi dans ce voyage en terres celtiques ?
Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver! 😀 Aujourd’hui, je vous embarque avec moi dans une nouvelle aventure créative : la découverte du tricot machine. En octobre dernier, j’ai eu la chance de participer à une formation à l‘école de laine, située à Vasles. Certainement, une expérience enrichissante qui m’a permis de me familiariser avec un outil fascinant et plein de potentiel : la machine à tricoter.
Pourquoi une formation tricot machine ?
Tout a commencé avec un héritage précieux : une machine à tricoter Toyota KS787 avec fonture KR460, transmise par ma belle-mère. Curieuse et motivée à élargir les horizons de mon activité artisanale. J’ai voulu apprendre à m’en servir correctement pour concevoir de nouveaux produits pour Claddagh and Co. Durant l’été passé dans les Deux-Sèvres, j’ai visité le parc Mouton Villages. C’est ainsi que j’ai découvert l’École de la Laine à deux pas. Cette dernière est reconnue pour son expertise sur toutes les techniques de la laine. Par conséquent, je n’ai pas hésité une seconde à m’inscrire.
Une semaine pour maîtriser les bases du tricot machine
La formation, animée par la passionnée Elise Amiet, est conçue pour nous accompagner pas à pas, que nous soyons débutants ou plus expérimentés. Durant cinq jours, j’ai découvert non seulement le fonctionnement des machines manuelles des années 70/90 (comme les Erka et Brother), mais aussi leur incroyable potentiel pour un usage artisanal ou semi-professionnel.
Nous avons appris à :
Entretenir et remettre en route une machine ancienne.
Tricoter les points de base comme le jersey ou les côtes.
Concevoir un projet tricoté à partir d’un échantillon.
Réaliser les finitions, comme le blocage ou les coutures invisibles.
Le moment fort de la semaine a été la conception de mon propre projet : un pull aux manches droites, tricoté intégralement à la machine. C’était à la fois un défi et une immense satisfaction de voir mon ouvrage prendre forme sous mes yeux.
Nous avons même eu la chance d’expérimenter la remailleuse, dont la formatrice venait tout juste de faire l’acquisition. Très utile pour assembler rapidement les différentes pièces d’un tricot.
Ce que j’ai retenu de cette aventure
Au-delà des compétences techniques, cette formation m’a offert un nouvel outil créatif pour enrichir mes collections. La machine à tricoter, bien que différente du tricot manuel, ouvre des perspectives incroyables : des textures variées, une production plus rapide et des possibilités de personnalisation infinies.
Grâce à cette expérience, je réfléchis désormais à intégrer le tricot machine dans mes produits, toujours dans une démarche artisanale et respectueuse des matériaux que j’affectionne tant, comme la laine brute.
En résumé, tout comme mes différentes visites dans des fermes ou à la filature de Belves, ce voyage en fibres m’a permis de redécouvrir la laine et le tricot sous un autre angle, tout en élargissant mes compétences. Si vous avez une machine ancienne qui prend la poussière ou que vous rêvez d’apprendre cette technique, je ne peux que vous encourager à suivre une formation à l’école de la laine à Vasles.
Et vous, avez-vous déjà essayé le tricot machine ? Partagez vos expériences en commentaire, je serais ravie d’échanger avec vous ! 😊
Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 😉 Je suis toujours intéressée par le travail de la laine, donc, pendant notre séjour en Dordogne, nous avons été visiter la filature de Belvès.
Histoire de la filature
Située à Monplaisant, la filature était jusqu’au 19ème siècle un moulin à farine, puis plâtre de la vallée de la Nauze. Il broyait le gypse, une pierre calcaire tendre qui servait à fabriquer du plâtre ou de la chaux, dans le département, les paysans l’utilisaient comme engrais. Il s’appelait le moulin du Cros. Par la suite, le moulin devient une carderie de laine. La laine brute et lavée des alentours était ainsi démêlée par la force de la roue de l’ancien moulin. En 1949, l’entreprise prend un nouveau tournant en devenant filature. En partant toujours de la laine brute et lavée, elle produisait du fil non teinté, vendue à l’industrie textile. La plupart des employés travaillaient en parallèle dans leurs fermes, les périodes d’activités dépendaient donc des saisons. L’activité a été arrêté en 2000. La collectivité a acheté l’endroit afin de ne pas perdre ce patrimoine et depuis 2010 l’association Au fil du temps, médiateurs du patrimoine anime le lieu avec des visites, un escape game et des ateliers créatifs. Les machines présentent dans l’usine ne tournent désormais plus que pendant les journées du patrimoine.
Préparation de la laine
Nous démarrons la visite par la salle d’ensimage. La laine brute et lavée qui arrive dans cette salle, doit être dépoussiérée, puis lubrifiée, c’est ce qui est appelé l’ensimage, afin de faciliter le cardage, et puis aérée.
Cardage de la laine
Ensuite, c’est l’étape du cardage. La laine est étirée, démêlée afin d’avoir des fibres parallèles. On élimine les derniers débris végétaux et on obtient une laine cardée sous forme de nappe, ruban ou flocons.
Ensuite, la confection du pré-fil est effectuée
Toute cette mécanique ancienne est assez impressionnante !
Filage de la laine
Ensuite, c’est le moment du filage et du conditionnement. Il s’agit ici de donner une torsion au pré-fil, puis d’assembler plusieurs fils, de retordre les fils ainsi filés. La dernière étape est la mise en écheveaux ou en cônes.
Nous pu découvrir un peu plus la vie des ouvriers dans les années 50 grâce à un escape game proposé par l’association qui anime le lieu, ainsi qu’un atelier feutrage de la laine.
Si vous passez dans la région, je vous invite à passer par cette visite, nous avons vraiment apprécié le temps passé là bas !
Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 😉 Cet été, nous sommes partis une semaine en Dordogne et nous avons eu la chance de pouvoir faire la visite d’un élevage de chèvres angora. Il s’agit de la ferme des 4 vents située à Peyrillac et Millac. Nous y avons été accueillis par Emma, une apprentie sur l’exploitation.
Visite de la ferme
Cette ferme familiale a pris un nouveau tournant en 2011 avec le développement de l’élevage de chèvres angora. Il faut savoir que la chèvres angora n’a rien à voir avec la laine angora issue du lapin. La seule similitude vient de l’origine de ses animaux, ils sont, tous les deux, originaires de la province d’Angora (de nos jours Ankara) en Turquie. Son origine en fait un animal supportant très bien les climats arides, c’est pourquoi son élevage s’est développé dans la partie sud de la France. Vous ne trouverez pas d’élevage en Bretagne, car l’humidité est son pire ennemi!
La laine des chèvres angora leur sert à la thermorégulation de leur corps, c’est ce qui fait que leur laine permet de bénéficier de ces qualités. La chèvre est tondue tous les 6 mois, la tonte prend plus de temps par rapport à celle d’un mouton par exemple. La toison de la chèvre est totalement sèche en comparaison de la toison de mouton qui contient du suint. Le tondeur doit donc beaucoup huiler sa tondeuse.
Visite du chalet des chèvres
Les fibres récupérées sont ensuite triées à la main, ce qui permet de faire 5 qualités différentes de mohair:
Qualité 1 qui provient de la laine de chevreau,
Qualité 2 et 3 pour tout ce qui est porté sur la peau,
Qualité 4 pour fabriquer des plaids,
Qualité 5 pour fabriquer par exemple des chaussettes de rando.
Les fibres sont ensuite envoyées en Italie pour être teintées et filées. Il n’existe, en effet, plus de filature spécialisé dans le mohair en France. Puis, la fabrication des produits de leur boutique, que ce soit des produits tricotés ou tissés, est faite en France. ( chaussons, écharpes, plaids… etc). Une partie reste artisanale grâce à des tricoteuses qui travaillent avec la ferme.
Fin de la visite par la boutique
Pour ma part, je me suis laissée tenté par des chaussettes et de la laine, je vous ferais un petit retour d’expérience. Si vous avez des appréhensions sur le lavage des produits en laine, je vous laisse aller voir mon article sur comment entretenir mon tricot en laine.
La ferme des 4 vents est aussi certifié « Mohair des Fermes de France« . C’est une association d’éleveurs de chèvres angora, producteurs et distributeurs de mohair français active depuis plus de 30 ans. Au delà d’un cahier des charges rigoureux, le Mohair des Fermes de France est une façon de repenser l’agriculture locale et collaborative dans le respect des animaux, de l’humain et de l’environnement.
Si vous passez dans la région, je vous conseille d’aller y faire un tour pour découvrir la production d’un produit d’exception! Vous pouvez les retrouver aussi sur plusieurs salons en France.
Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 😉 Aujourd’hui, je vais vous parler de laine.
Un peu d’histoire
Je tricote depuis de nombreuses années, et j’ai toujours vu ma mère et mes grands-mères tricoter. Ce que je peux dire de ma vision d’enfant c’est que pour elles, l’arrivée des laines synthétiques notamment l’acrylique et le polyester vers les années 50 a révolutionné la façon dont elles ont considérés le tricot. Il n’y avait plus d’enfants qui rechignent à porter des pulls qui « grattent », plus de difficulté pour le lavage. Elles étaient en pleine période de libération des droits de la femme et de l’arrivée massive de l’électroménager dans les maisons, notamment avec la machine à laver. C’est pourquoi ma mère m’a toujours vanté ses matières et j’ai appris le tricot avec elle. Dans les années 60, on peut considérer que la laine avait perdu 40% de son prix d’achat. Cette matière était de moins en moins valorisée.
Scheveningen Woman Knitting Vincent Van Gogh 1881
Il est vrai que chaque génération discute les vérités acquises par les générations précédentes et je ne fais pas exception à la règle. Il faut bien de quoi animer les repas de famille !
De nombreux arguments me font me questionner sur ces matières issus de l’industrie pétrochimique : impact sur la santé et rejets toxiques des usines. De plus, au lavage, les textiles acryliques rejettent une grande quantité de fibres synthétiques (microfibres) que les stations d’épurations ne sont pas capables de filtrer et qui ont des conséquences nocives pour les milieux aquatiques.
Retour aux sources
Loin d’être parfaite en terme d’écologie, j’essaye de faire ma part comme dirait le mouvement colibri. C’est pourquoi orienter mes achats dans des matières aussi locales que possible et naturelles me semble logique quand on parle de loisirs créatifs. Vous allez me dire que les matières naturelles et locales n’ont pas le même prix qu’une matière synthétique fabriquée à des milliers de kilomètres de chez moi. Je suis d’accord, mais j’ai décidé d’appliquer les mêmes principes que ceux que j’ai pour ma consommation quotidienne : je consomme moins mais mieux et ainsi, je ne trouve pas d’impact sur mon budget. Bien sûr, je n’ai pas la réponse à tout, et je continue à utiliser des matières synthétiques soit provenant de mon stock, soit des produits que je considère comme de qualité mais venant de loin.
C’est pourquoi j’ai testé le tricot avec de la laine 100% mouton. En ce moment, j’utilise celle de Laines à l’Ouest , laine que je vous propose dans mes kits Tricot mitaines Kaouenn.
Une question qu’on me pose souvent et qui est un frein pour beaucoup, c’est: Comment entretenir mon tricot en laine ?
Propriétés de la laine
Parlons tout d’abord des propriétés de la laine pour comprendre comment l’entretenir. La laine est composée d’écailles tout comme les cheveux. Grâce à cette particularité, elle peut absorber jusqu’à 30% d’humidité pour l’évacuer ensuite. En effet, les écailles sont hydrophobes, c’est à dire qu’elles repoussent l’eau, et le noyau est hydrophile, c’est à dire qu’il capte l’eau. En fonction de la température, les écailles s’ouvrent ou se ferment : c’est pourquoi on dit que les vêtements en laine respirent, ils permettent à l’organisme de se maintenir à une température idéale. C’est aussi cette propriété qui fait que la laine ne retient que très peu les odeurs.
À cause de ses écailles, un tricot en laine ne doit pas être exposé à des changements de températures trop brusques, comme dans une machine à laver. La chaleur fait s’ouvrir les écailles. Si le refroidissement est trop brusque, les écailles se lient les unes au autres et le feutrage se produit.
Fibre de laine au microscope
Je vous ai un peu parlé des pulls Aran, les pulls traditionnels irlandais, dans mon article où je vais expliquer comment tricoter avec des aiguilles circulaires. Ce pull était réalisé dans des mailles très serrées, ce qui lui permettrait de pouvoir faire face à la rudesse du climat. Il est rapidement LE pull des marins des îles d’Aran. Il faut savoir que originellement, la laine brute était le composant principal du pull. Cette laine brute était non traitée afin de garder la lanoline. Je vous vois arriver ! Qu’est ce que la lanoline ? La lanoline est la graisse de la laine (un peu comme le sébum chez nous) qui renforce l’imperméabilité. Inconvénient d’une laine brute, c’est qu’elle reste plus ou moins odorante. De nos jours, la laine est lavée et triée avant d’être filée. Néanmoins, elle conserve ses qualités de matière respirante.
Laine superwash
Un autre type de laine existe : c’est la laine superwash. Cette laine est censé pouvoir être lavée à la machine à laver. Que rêver de mieux et pourquoi s’embêter avec un lavage spécifique ?
Rendre une laine superwash nécessite un traitement chimique en usine. Plusieurs méthodes existent :
La première méthode consiste à enrober la fibre dans un bain polymère ou de résine pour aplanir les écailles,. Cet enrobage empêche ainsi les écailles de se frotter et de se lier les unes aux autres et donc de feutrer au lavage.
La deuxième méthode est de donner à la fibre un bain acide (un bain de chlore) pour éliminer les écailles. Un autre traitement crée un revêtement synthétique qui rendra la laine plus résistante aux changements de température. Là encore, ce traitement limitera les frottements, et donc le fait que la laine ne feutre et ne rétrécisse.
La troisième méthode est le traitement Kroy-Ercosett. Il consiste à combiner le traitement au chlore et l’application d’un bain de résine de polymère (résine d’Ercosett). Cela donne un fil très rond et plus fin qu’un fil classique. Ce procédé a l’avantage d’absorber extrêmement bien les colorants. Les personnes qui font de la teinture plébiscitent cette méthode.
Bien évidemment, en enlevant la surface écailleuse de la fibre, on lui enlève ces propriétés hydrophobes et respirantes. Alors certes les traitements que la laine subit lui apporte des avantages mais c’est comme si la laine avait été plongée dans un bain pour la recouvrir de plastique. Elle n’est plus pareil au toucher et perd un peu de son intérêt en ne réagissant plus à son environnement. Il est urgent de se rappeler à quel point la nature est bien faite et qu’il n’est pas toujours nécessaire d’intervenir !
Entretenir ses tricots en laine
Après une explication sur comment est constituée la fibre de laine, je vous propose un focus sur son entretien. Je vous propose de lire cet article très intéressant de Laines Paysannes au nom évocateur de ARRÊTONS DE LAVER NOS VÊTEMENTS, ou comment entretenir sa laine.
Ce que j’en retiens :
En observant notre façon de fonctionner, il est totalement vrai que nous mettons parfois des vêtements à laver sans qu’ils ne soient vraiment sales.
Laver ses vêtements génère de la pollution, même en utilisant des lessives écologiques (énergie, rejets de microfibres et de teintures…).
Avant de laver son tricot, il faut vérifier qu’il soit vraiment sale. Ce n’est pas par manque d’hygiène, mais rappelons que la laine naturelle possède des écailles qui s’ouvrent et se ferment en fonction de la température et de l’humidité. Souvent il suffira de secouer votre pull et de l’aérer, et il s’auto-nettoiera dans une certaine mesure.
Le reste du temps pour laver un tricot en laine, il faut le faire à froid. La majorité des machines à laver propose ce type de programme. Utiliser une lessive à laine ou bien une lessive fait maison, c’est encore plus facile ! Le séchage devra être fait de préférence à plat, sur une serviette en coton par exemple, et pas trop proche d’une source de chaleur (radiateur, cheminée, etc…) pour éviter que le tricot ne rétrécisse.
La laine est une matière vivante et c’est ça qui l’a rend si magique. Profitez-en !