Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver! 🙂 Le rentrée est passée, j’espère qu’elle s’est bien passée chez vous. Les fournitures scolaires sont arrivées dans les cartables. Toujours dans notre optique zéro déchet comme notre utilisation de furoshikis, je vous propose aujourd’hui un tutoriel pour fabriquer un couvre-livre en tissu. A vos machines à coudre pour donner un peu de pep’s aux manuels scolaires un peu fatigués de vos bambins 😉.
Le matériel
Un coupon de tissu pour la couverture et un pochette intérieur
Un coupon de tissu pour la doublure et une pochette intérieur
Du thermocollant
Un ruban assorti à vos tissus
Les mesures pour le couvre-livre
La première étape est de mesurer votre livre. D’abord, le tour :
Mesurez l’intérieur de la couverture et divisez-la par deux pour obtenir la dimension z.
Le patron
1 pièce à couper dans le tissu de couverture, 1 pièce à couper dans le tissu de doublure
2 pièces à couper dans le tissu de couverture
2 pièces à couper dans le tissu de doublure
Le tuto du couvre-livre
La deuxième étape est de couper vos pièces de tissu selon le patron.
Si nécessaire, posez du thermocollant au dos du tissu de couverture pour donner plus de rigidité.
Vous pouvez également le personnaliser votre tissu de couverture avec du flex ou bien en le brodant. Si votre tissu s’effiloche, surfilez les bords, si vous n’avez pas de surjeteuse vous pouvez utiliser le point zigzag de votre machine à coudre.
Préparez ensuite un ruban assorti de la hauteur y de votre livre et y ajouter environ 8 cm.
Ensuite, pliez les pièces des pochettes en 2 et repassez-les pour marquer le pli central.
Une fois ceci fait, surpiquez le bord. Vous pouvez choisir une couleur de fil qui tranchera avec la couleur du tissu ou le fil de la même couleur.
Après, épinglez les pièces des pochettes ainsi que le ruban sur le tissu de la doublure.
Coudre ensuite les pochettes et le ruban avec la doublure.
Puis, épinglez le tissu de couverture endroit contre endroit. Attention à replier le ruban pour ne pas le prendre dans une couture.
Ensuite, cousez tout le tour en laissant une ouverture de 10 cm environ pour le retourner et couper les angles.
Finalement, retournez par l’ouverture.
Repassez si nécessaire. Il ne vous reste plus qu’à glisser le livre dans le couvre-livre.
Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 😉 Après mon premier tutoriel sur le tricot où je vous parlais des mailles et comment démarrer un tricot avec des aiguilles droites, je vais vous parler aujourd’hui des aiguilles circulaires.
Pour ma part, depuis toujours, j’ai tricoté avec des aiguilles droites, et ce n’est que récemment que j’ai découvert les aiguilles circulaires. Donc je voulais vous en parler car j’adore désormais cette technique qui permet d’avoir un tricot sans couture et également de faire des petits ouvrages avec peu de mailles, comme des mitaines ou des chaussettes.
Le principe
Le principe est simple : au lieu de tricoter à plat, nous allons tricoter en rond et donc obtenir des « tubes ». On passe en quelque sorte de la 2D à la 3D.
Ce qui m’a aidé au début, c’est de visualiser un ressort. Nous allons tricoter en faisant des tours en spirales comme ceci :
Pull Aran
Cette technique de tricot en rond est très caractéristique des tricots traditionnels irlandais, dont les pulls Aran plus particulièrement. Les îles d’Aran sont trois îles rocheuses situées à l’embouchure de la baie de Galway, à l’ouest de l’Irlande. Je trouve ses pulls magnifiques et remplis de symbolisme. Initialement, les pulls Aran sont ceux des familles de pêcheurs et donc étaient et sont tricotés avec de la laine brute qui permettait d’avoir une parfaite isolation tout en laissant respirer la peau.
Chaque famille avait ses propres symboles :
La torsade : représente les cordages des pêcheurs et symbolise la chance ;
L’arbre de vie : symbolise l’unité de la famille et du clan ;
Les losanges : représentent les petits champs de l’archipel et symbolisent la réussite et la richesse.
Et chaque famille utilisaient certains points de tricot :
Point de blé : représente l’algue utilisée pour fertiliser les terres ou les lichens aux vertus médicinales — en tant qu’habitant d’îles les produits de la mer sont très utilisés — et symbolise la nature ;
Point nid d’abeille : représente le dur labeur dont sont l’exemple, les abeilles ;
Point treillis : sont les petits carrés de terre séparés par des pierres sur les îles d’Aran ;
Point de vannerie : symbolise la change qui est donné au pêcheur pour capturer des poissons ;
Point zig-zag : représentent les sentiers tortueux des îles ;
Point de la Trinité : symbolise la Sainte Trinité et représente aussi les fruits cueillis sur les haies.
Comment ne pas imaginer mille histoires devant un tel paysage 💚 :
Tricoter avec des aiguilles circulaires
Avec toute cette symbolique qui a du vous faire rêver, j’espère vous donner un peu de cette passion du tricot qui m’anime. Passons maintenant à la technique.
Le matériel
Pour commencer, il vous faut des aiguilles circulaires. Au début, j’ai acheté par souci d’économie des aiguilles circulaires les moins chères possibles, mais j’ai eu du mal à les prendre en main, car le câble était trop rigide, et les aiguilles ne glissaient pas correctement.
Après avoir lu pas mal de comparatif, je me suis tournée vers la marque KnitPro,et j’en suis complètement satisfaite : les aiguilles en bois sont légères, glissent parfaitement et le câble est souple. Mais elles ont un inconvénient à mon avis : leur lieu de fabrication car la majorité provient de Chine.
Étant dans une démarche de consommation la plus éco-responsable possible, ce fait me dérange. En perpétuelle recherche d’amélioration et de produits locaux, j’ai entendu parler des aiguilles de la marque ADDI, fabriquées en Allemagne. J’attends de pouvoir les tester et je vous ferais un retour. Mon idéal serait de trouver un producteur français d’aiguilles à tricoter donc si tu te reconnais ou si tu veux partager tes bonnes adresses, n’hésites pas à commenter, j’échangerais (et testerais) avec plaisir !
Monter les mailles
Alors, maintenant que nous avons le bon matériel, il faut commencer notre tricot. Dans mon précédent article « C’est quoi une maille ?« , je vous expliquais comment monter des mailles sur des aiguilles droites. La technique est quasiment identique avec les aiguilles circulaires.
Commencez par sortir une bonne longueur de fil de votre pelote et pliez-la en deux. Puis faites un triangle avec la laine grâce à votre pouce et votre index de la main gauche.
Rabattez ensuite le fil tenu par votre main droite au milieu de vos doigts de la main gauche.
Retenez le fil de la main gauche, grâce à votre annulaire et auriculaire de la main gauche. Vous pouvez ensuite attraper votre aiguille circulaire avec votre main droite et la glisser sous le fil autour du pouce de votre main gauche.
Attrapez le fil autour de l’index de la main gauche.
Passez le fil dans la boucle du pouce.
Tirez sur les fils.
Félicitations : vous avez obtenu une première maille.
Ecartez de nouveau les deux brins de laine avec votre pouce et votre index de la main gauche.
Après cela, passez votre fil entre votre pouce et votre index de la main gauche.
Piquez avec votre aiguille tenue dans la main droite, sous le fil du pouce de la main gauche.
Attrapez ensuite le fil autour de votre index et ramenez-le dans la boucle du pouce.
Tirez les fils
Effectivement, vous obtenez ainsi une deuxième maille.
Utilisez la même technique pour obtenir le nombre de mailles souhaitées. A ce stade, il n’y a pas de différence avec le montage sur aiguilles droites. Vigilance : pensez à bien positionner les mailles sur les aiguilles circulaires. Néanmoins, il faut qu’elles soient bien à plat, sinon vous risquez de torsader votre tricot autour de vos aiguilles en tricotant votre prochain rang.
Tricoter avec les aiguilles circulaires
Premièrement, répartissez ensuite vos mailles sur les aiguilles circulaires de façon à avoir une sorte de triangle comme l’image ci-dessus. Attention à laissez vos mailles bien à plat.
Tricotez votre maille pour fermer le cercle. C’est la première maille du deuxième rang. Rappelez-vous du schéma de spirale un peu plus haut pour visualiser correctement.
Continuez de tricoter votre deuxième rang, vous pouvez positionner un anneau marqueur sur la maille de début de rang pour repérer les tours que vous faites.
Au bout d’un moment, vous aurez terminé de tricoter toutes vos mailles de votre aiguille gauche. Il va falloir faire glisser vos aiguilles circulaires pour faire avancer votre travail. Toutefois il faut faire attention les premières fois, vous risquez de perdre des mailles sur vos aiguilles.
Faites de nouveau sortir votre câble à deux endroits pour répartir vos mailles et former de nouveau une sorte de triangle. Et voilà, vous êtes prêts pour continuer à tricoter en rond.
Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 😉 Je vous parle aujourd’hui des mailles de base à connaître pour démarrer votre premier projet en crochet:
le montage de base à faire avec la maille chaînette aussi appelée maille en l’air,
Commençons les mailles de base par la maille coulée, c’est une maille qui permet de rapprocher deux rangs ou deux parties d’un ouvrage réalisées séparément (habillement, couverture etc…).
Souvent réalisée après un montage chaînette, elle sert à faire avancer la maille.
Piquez le crochet dans la première maille.
Faites ensuite un jeté.
Passez le fil dans les deux boucles restantes.
Double-bride
A savoir : pour commencer un rang de double bride, on fait quatre mailles en l’air pour remplacer la première double bride. Cela va permettre d’éviter la déformation de votre ouvrage.
Pour continuer votre ouvrage avec des points double-bride.
Faites deux jetés.
Piquez le crochet dans la maille suivante, on a quatre mailles.
Ensuite, faites un jeté et passez-le sous les deux premières boucles seulement. Il reste trois mailles .
On répète encore une fois à travers les deux boucles suivantes sur le crochet. Il reste deux mailles.
On fait un dernier jeté et on le passe dans les deux dernières boucles. Il reste une maille.
Demi-bride
Pour commencer un rang de demi-bride, on remplace la première demi-bride par deux mailles en l’air. Cela va permettre d’éviter la déformation de votre ouvrage.
Faites un jeté.
Piquez le crochet dans la maille suivante.
Faites un jeté, tirez une boucle, il reste trois mailles.
Ensuite, faites un jeté, et passez le crochet à travers les trois boucles.
Et voilà, vous êtes prêts pour votre premier projet. Je vous propose ce modèle simple pour débuter et hyper pratique pour vos courses zéro déchet : Sugar Mesh by DROPS Design. Je vous détaillerais le modèle dans un prochain article !
Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 😉 Après mon tuto comment débuter le crochet, je vous propose une explication pour la maille serrée et la bride. Ce sont les points de base au crochet, les connaître est indispensable pour débuter. Vous les retrouverez dans beaucoup de projet.
Si vous souhaitez démarrer un projet, vous trouverez des kits de la marque Chouette Kit ici.
Maille serrée au crochet
La maille serrée se fait après la chaînette. Il faut réussir à faire une chaînette bien souple pour que ça ne resserre pas le bas de votre ouvrage et ainsi obtenir un beau rectangle. Vous devez pouvoir piquer votre crochet dans la chaînette sans peine.
Une fois la chaînette terminée, faites une maille en l’air en plus, elle va remplacer la première maille serrée du rang suivant.
Il va falloir piquer dans la première maille en l’air de la chaînette.
Pour éviter que la chaînette se déforme, piquer sous les deux brins de la maille en l’air.
Attraper le fil (vous faites un jeté). Vous obtenez trois boucles.
Ramener le fil à travers la maille. Attention, juste à travers une maille, pas les deux.
Vous avez deux boucles sur le crochet. Faire un nouveau jeté.
Ramenez la dernière boucle dans les deux premières.
Il ne reste alors qu’une seule boucle sur le crochet.Vous obtenez ainsi votre première maille serrée.
Recommencez jusqu’à la fin du rang. N’oublier pas la dernière maille du rang.
Pour recommencez le rang suivant, faites une maille en l’air qui va compter pour une maille serrée, et recommencer en piquant dans la première maille. Penser à compter régulièrement vos mailles pour éviter d’en perdre et que votre projet soit déformé.
Crocheter une bride
Avant de faire une bride, il faut faire trois mailles en l’air qui vont remplacer la première bride.
Pour faire une bride, il faut faire un jeté. Vous avez deux mailles sur le crochet.
Piquer dans la maille suivante.
Faites un jeté. Vous obtenez quatre mailles.
Tirer le fil dans la maille. Vous obtenez trois mailles.
Faites un jeté. Vous obtenez quatre mailles.
Tirer le fil à travers les deux premières boucles.
Vous obtenez deux mailles.
Faites un jeté. Vous obtenez trois mailles.
Tirer le fil à travers les deux boucles restantes.
Il reste une maille sur le crochet. A la fin du rang, faites 3 mailles en l’air pour tourner.
Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver! 🙂 Aujourd’hui, un article un peu différent. Je ne vais pas vous parler de créations, mais de mes inspirations et des symboles qui m’inspirent. J’aime beaucoup la culture celte, et un symbole me suit depuis longtemps : c’est l’anneau de Claddagh.
Je l’ai découvert en bonne fan de la série « Buffy contre les vampires » et il est un peu devenu mon symbole fétiche. C’est pourquoi, il est à la base du nom de mon blog.
Claddagh
Claddagh ou « cladach » (le « rivage », en gaélique) est un ancien village de pêcheurs irlandais, composé de chaumières datant du 5ème siècle. C’est un quartier de Galway, juste en dehors des murs de la vieille ville, à l’endroit où le fleuve Corrib rencontre la baie de Galway. Il se trouve à l’ouest, après l’Arche Espagnole, qui était l’emplacement du marché aux poissons et des fruits de mer. Aujourd’hui, Claddagh est populaire auprès des touristes du monde entier. Si vous vous y rendez, vous verrez que de nombreux pêcheurs vivent encore là-bas et continuent de faire vivre les vieilles traditions.
Symboles inspirés de motifs celtiques
J’habite la Bretagne depuis quelques années. Ce qui m’a frappé en arrivant, c’est cette culture celte qui reste très présente et vivante. C’est pourquoi, je me suis plongée avec plaisir dans les symboles celtiques et bretonnes comme les triskèles, les entrelacs, les spirales, les arbres de vie… Ainsi que toute la mythologie celtique qui en découle. Tout cela me passionne et m’inspire dans mes créations.
Spirale
Le premier symbole qui me vient à l’esprit est la spirale. C’est probablement l’un des premiers motifs abstraits dessinés par l’homme. On trouve facilement cette forme dans la nature, comme un tourbillon dans l’eau, la coquille des escargots, la disposition spiralée des graines du tournesol. Ou même dans les étoiles, nous savons que nous résidons dans une galaxie en spirale. C’est probablement ce qui a inspiré les artistes celtes.
Plus récemment, Fibonacci a découvert sa célèbre suite liée au nombre d’or Phi , de savants calculs permettent d’en tirer la spirale d’or. Une spirale d’or devient plus large par un facteur de Phi pour chaque quart de tour qu’elle fait. Ce nombre est retrouvé fréquemment dans la nature. C’est encore une symbolique qui a été très souvent reprise.
Dans la nature, si on prend le tournesol, la suite de Fibonacci est le nombre des différentes spirales de graines sur la face de la fleur.
La symbolique de la spirale m’inspire beaucoup, sa ligne nous guide vers un centre ou, alors, nous extrait de ce centre pour nous conduire vers un autre monde.
Triskèle
Un autre symbole incontournable en Bretagne c’est le triskèle. Également orthographié triskell ou triskel ou appelé aussi triskelion ou triscèle, c’est un symbole représentant trois jambes ou trois branches incurvées dans le même sens autour d’un centre. C’est un symbole très ancien qu’on retrouve notamment sur le site de Newgrange en Irlande qui a été construit autour de 3200 av. J.-C. Le mur extérieur du tumulus est flanqué de pierres monumentales sur lesquelles il est possible d’observer des dessins en spirale et quelques triskèles.
Le motif est basé sur le chiffre 3, ce chiffre est considéré comme un chiffre hautement sacré dans de nombreuses cultures anciennes, notamment par les druides.
Triquetra
Une triquetra est un mot dérivé du latin tri-, « trois » et quetrus, « pourvu de coins ». Cette forme a été utilisée pour symboliser des groupes de trois objets ou de trois personnes. Elle est aussi appelée le noeud de la Trinité, certains dessins incluent aussi un cercle au centre. Ce symbole daterait de plus de 5000 ans. Il est représentatif des forces de la nature: terre, feu et eau et les trois cercles imbriqués symbolisent la fertilité féminine. Le chiffre trois étant très important dans la culture celtique, il peut aussi représenter les trois étapes de la vie. Le Triquetra peut signifier également les phases lunaire et solaire. Au cours de fouilles archéologiques de l’ère celtique, un certain nombre de symboles représentant des nœuds de la Trinité ont été découverts à côté de symboles solaires et lunaires.
Arbre de vie
L’arbre dans la culture celte est sacré, c’est le lien principal entre les trois mondes : terrestre, céleste et souterrain. Il est la symbolique de l’univers. Les sept arbres sacrés des druides sont le Bouleau, l’Aulne, le Saule, le Chêne, le Houx, le Noisetier et le Pommier.
Le troisième symbole incontournable, est l’arbre de vie celtique, appelé Crann Bethadh en gaélique. C’est l’attribut végétal de Lug, le dieu suprême de la mythologie celtique. Il est le symbole de l’équilibre, de l’harmonie, de la force et du cycle de la vie.
Ce symbole est beaucoup plus ancien que la culture celte, il remonte à l’Égypte ancienne. Toutes ces civilisations respectaient et adoraient les arbres. La signification et le symbolisme des Celtes attachés aux arbres en sont un excellent exemple, en effet ces fiers guerriers les considéraient comme des porteurs magiques de la vie qui reliait tous les mondes.
Symboles amérindiens : le Colibri
La légende du colibri n’est pas liée à la culture celte mais une légende amérindienne ! C’est néanmoins un des symboles qui me représente comme j’en parle dans mon article sur l’Accompagnement à la création d’une entreprise créative.
Voici cette légende telle que la raconte Pierre Rahbi qui est l’un des pionniers de l’agriculture écologique en France :
Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu! » Et le colibri lui répondit: « Je le sais, mais je fais ma part. »
Pierre Rahbi
Agir, faire ma part, c’est quelque chose qui raisonne en moi et dans mes actes quotidiens.
Vous trouvez toutes les valeurs qui sont les miennes et qui transpercent à travers ces symboles dans les produits que je vous propose sur ma boutique.