Furoshikis

Temps de lecture : 5 minutes

Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 😉
Après notre bilan sur la consommation de papier, nous avons réfléchi sur les moyens de limiter notre consommation d’emballage et de papier.
Noël dernier, nous sommes passé aux furoshikis pour emballer nos cadeaux. Nous n’avons eu que des remarques positives quant à notre démarche. Et pour les questionnements de nos petites qui croient encore au père Noël, les lutins étaient venus quelques semaines avant la fête, pour « récupérer » nos emballages afin de mettre leurs cadeaux dedans !


Selon le site de la COPACEL, l’Union Française des Industries des Cartons, Papiers et Celluloses, la production française de papiers et carton, en 2018, est d’environ 7,8 millions de tonnes, dont 57% d’emballage, 11% de papiers d’hygiène, 27% d’usages graphiques et 5% de papier industriels et spéciaux. Il faut savoir que le papier cadeau industriel n’est pas toujours recyclable, car il est souvent plastifié et ses colorants sont à base de produits chimiques. Le choix du papier cadeau est important et si le tissu vous fait peur ou ne vous plaît pas, réfléchissez bien à l’achat de votre papier car si il est plastifié, c’est qu’il n’est pas recyclable. Idem pour le bolduc qui agrémente nos paquets.
D’autres solutions existent :

  • Du papier craft : 100 % recyclé et recyclable
  • De vieilles cartes routières
  • Des chutes de tissus

Laissez libre court à votre imagination !

Qu’est-ce que les furoshikis ?

C’est une technique japonaise traditionnelle de pliage et de nouage du tissu utilisée pour l’emballage de cadeaux et le transport d’objets. Cette technique ancestrale se répand de plus en plus.

Bien sûr, dans notre démarche « Zéro déchet », impossible pour faire nos furoshikis d’acheter du tissu sachant la pollution créée par l’industrie textile. C’est pourquoi nous avons chiné du tissus de seconde main, notamment de vieux draps lors de vide-grenier. Pour quelques euros, vous pouvez dénicher des merveilles !
Il faut savoir que les dimensions les plus communes pour les furoshikis sont:

  • 50 x 50 cm
  • 70 x 70 cm
  • 90 x 90 cm
  • 105 x 105 cm

Comment fabriquer son furoshiki ?

C’est très simple à faire. Pour cela, il vous faut :

  • Un coupon de tissu ;
  • Un mètre ruban et une règle, ou bien une grande règle ;
  • Des ciseaux ;
  • Un stylo ou une craie pour marquer le tissu. J’utilise pour ma part un stylo FriXion , ils sont pratiques car le trait s’efface avec la chaleur donc un repassage et on ne voit plus rien !

Commencez par tracer votre carré sur votre tissu, à la dimension finale souhaitée, en pensant à ajouter 1,5cm de marge de couture de chaque côté.
Puis découpez-le.
Voici la technique de couture pour faire des angles propres :

Pliez une première fois le tissu.

Puis une seconde fois, et repassez pour marquer le pli.

Épinglez sur toute la longueur.

Faites pareil pour le coté suivant: pliez deux fois le tissu et marquez le pli au fer à repasser.

Dépliez, vous pouvez voir la marque du pli qui va nous servir de repère.

Cornez l’angle de façon à ce que la pointe du triangle ainsi formée soit sur la marque du pli du haut.

Pliez une première fois le tissu sur la marque du pli du bas.

Et une deuxième fois sur la marque du pli du haut, vous obtenez ainsi un angle propre. Il reste à épingler et à faire les 4 angles de la même façon.

Piquez ensuite tout le tour.

Et voilà, vos angles sont propres.

Votre furoshiki est prêt à être utilisé !

Comment faire le nouage de base ?

Pour un cadeau rectangulaire ou carré, posez-le sur une diagonale du carré de tissu. Repliez deux angles opposés vers le centre du carré.

Repliez ensuite un des angles vers le centre.

Puis le deuxième en « portefeuille »

Pliez les côtés de façon à former deux « pattes ».

Faites un premier nœud avec des deux « pattes » en serrant bien.

Puis un deuxième.

Arrangez joliment le nœud.

Et voilà le résultat !

See you soon !

Bilan consommation de papier

Temps de lecture : 4 minutes

Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouver! 🙂
Comme je vous l’ai dit, nous sommes dans notre démarche pour limiter nos déchets. Il y a deux ans, à Noël, nous avons commandé le livre de la Famille presque Zero Déchet dans lequel nous y avons pioché plein d’astuces. À nous maintenant de faire le bilan côté papier de ce que nous faisons ou pas, pour modifier et adapter nos habitudes. Nous voulons respecter nos valeurs et celles que nous voulons inculquer à nos enfants. 💚

Livre "Famille presque Zéro Déchet" avec plein d'astuces pour limiter les déchets (hygiène, anniversaire, papier, ...)

Je me suis intéressée, plus particulièrement, à notre consommation de papier. Je te parlerais dans d’autres articles de la fabrication de nos produits ménager et de la fabrication de tawashis, côté jardin, de notre compost et de notre potager, et côté cuisine, de la fabrication de nos bocaux, yaourts, goûters et desserts maison.

Évidemment, nous sommes loin d’être parfait, mais nous faisons des petits gestes pour nous améliorer. Maintenant, commençons à faire notre bilan papier.

Le papier côté loisirs

Nous ne pouvons pas nous passer de livres car nous lisons beaucoup, et nos filles également. Ce sont souvent des cadeaux que nous recevons à Noël.
Nous avons beaucoup de livres et de magazines à la maison, entre autre :
– mes livres d’enfance et les magazines de Monsieur que nous avons récupéré de chez nos parents ;
– des livres et des magazines achetés en braderie ou neufs ;
– les livres que nous empruntons à la bibliothèque.

Les livres : le papier que tout le monde connaît

Un petit tri s’imposera quand nous aurons du temps, des astuces pour donner une seconde vie à des livres ?

J’avoue que je rebute à l’heure actuelle à faire les magasins avec nos deux petites donc nous commandons sur internet. Ce qui me prend 30 minutes toute seule peut prendre une matinée avec les filles… Ce qui veut dire, bien évidemment, cartons et papiers d’emballage. Au lieu de les jeter, et si ils ne sont pas très abîmés et/ou non réutilisables, ils sont stockés au garage dans l’attente d’être réutilisé. Nous vendons sur internet tout ce dont nous ne nous servons plus (Vinted, Le bon coin…), et piochons ainsi dans ce stock pour nos envois.

Nous achetons aussi quelques cahiers, pour la nounou, pour nos notes… Monsieur a récupéré ses cours d’école et nous avons fait un stock de feuilles de brouillons pour les dessins des filles. Grâce à des cahiers souvent à moitié utilisés, nous n’aurons plus d’achats de cahiers à faire avant l’entrée en CP de notre première.

Un cahier papier transformé en bullet journal

Nous achetons de plus en plus d’aliments en vrac pour éviter les emballages en carton. L’arrivée d’un magasin proche de chez nous, proposant du vrac, en septembre 2020 va nous faciliter la vie. A suivre !

Une façon d'éviter le papier et le carton : le vrac

Le papier côté hygiène

Nous ne pouvons pas nous passer de papier toilette, mais nous compostons le tube. J’ai entendu parler d’une marque de papier toilette 100% écologique fabriqué en Normandie, je dois étudier le sujet pour voir où je peux l’acheter, sans faire des kilomètres, ce qui n’aurait pour le coup plus de sens !

Nous utilisons sur notre terrain une micro-station d’épuration individuelle : ce système a la particularité de traiter directement nos eaux usées sur notre terrain. Un contrôle est fait une fois par an et permet de savoir que le papier a l’air de bien se dégrader.

Nous utilisons des couches bébé jetables. J’avoue avoir été tenté quand notre première fille est née mais Monsieur n’était pas convaincu. Notre deuxième fille étant bientôt propre, j’avoue ne pas vouloir investir maintenant. J’ai acheté deux culottes d’apprentissage de la marque Imsevimse sur le site Greenweez. Je trouvais l’investissement raisonnable pour limiter un peu les couches et éviter les trop gros accidents de pipi, qu’on peut avoir avec des culottes classiques. Elle les utilise l’après midi, et a l’air de trouver ça agréable.

La culotte d'apprentissage ou comment réguler l'utilisation de couches

Je teste, depuis peu, une cup menstruelle : utile mais pas très pratique au travail quand on doit la vider et la laver. Sachant que je pars tôt et que je vais chercher mes filles le soir avant de rentrer à la maison, ça me ferait la garder de 7h00 à 18h30 sans lavage… un peu trop pour moi ! Depuis plus d’un an, j’utilise des serviettes hygiéniques lavables, que j’ai cousu, pour mon début et ma fin de cycle. J’utilise encore quelques serviettes jetables pour les autres jours.

Nous utilisons des mouchoirs en tissus (j’ai été convertie par Monsieur 😀 !). Je pensais que ça ne serait pas hygiénique, mais au final, nous sommes convaincus, même pour nos deux filles. Nous les avons récupéré dans les armoires de nos familles respectives. Si vous voulez investir, la boutique Merci Simone! en propose.

Bye bye le mouchoir en papier! Hello le mouchoir en tissu !

Nous utilisons également des serviettes en tissu à table pour limiter notre utilisation de papier essuie-tout. Dans tous les cas, nous le mettons dans le compost et ça se dégrade très bien ! Je vais bientôt coudre de l’essuie-tout lavable et vous présenterais cela dans un autre article.

Nous utilisons depuis 5 ans avec nos filles des lingettes lavables pour le change, que j’ai cousu. Là encore, nous sommes convaincus et ça fait partie des cadeaux home-made que nous offrons à chaque naissance.

Lingette lavable ou l'alternative au lingette papier jetable

Nous avons collés un autocollant STOP-PUB fourni par notre mairie sur notre boîte aux lettres.

See you soon !


Accompagnement à la création d’une entreprise créative

Temps de lecture : 5 minutes

Bonjour mes lecteurs, ravie de vous retrouvez 🙂
Je vais vous raconter aujourd’hui, comment j’ai pu bénéficier d’un accompagnement à la création d’entreprise. J’hésite encore à me déclarer micro-entrepreneuse, donc si certain(e)s ont des conseils, je suis preneuse.

J’ai commencé à réfléchir en 2018 à une reconversion professionnelle, mais sans savoir vers quoi me tourner. Je suivais des cours de couture à ce moment-là et j’ai toujours voulu tester de nouvelles techniques comme le tricot, le tissage, la broderie… Le DIY (Do It Yourself) est un domaine qui m’attire depuis de nombreuses années.
Je peux clairement dire aujourd’hui que j’ai été très mal conseillée tout au long de ma scolarité, et que j’ai une très mauvaise opinion de ma conseillère d’orientation de l’époque ! J’espère aider mes filles mieux que je l’ai été, mais ça c’est une autre histoire.

CCI d’Ille et Vilaine

Dans un premier temps, j’ai participé à une réunion « Découvrir le statut de micro-entrepreneur » prise en charge à 100% par la CCI d’Ille et Vilaine. J’ai pu y :
– découvrir le régime du micro-entrepreneur,
– connaître les conditions pour devenir micro-entrepreneur,
– m’informer sur les différentes prestations d’accompagnement que la CCI peut me proposer en tant que micro-entrepreneur,
– avoir un décryptage des avantages et inconvénients du statut micro-entrepreneur,
– avoir des renseignements pour savoir où m’inscrire en tant que micro-entrepreneur,
– découvrir les organismes liés au statut de micro-entrepreneur,
– pouvoir faire mon choix de statut,
– avoir un premier niveau d’information sur le statut de micro-entrepreneur,
– savoir vers quels organismes me diriger vers la suite.

CCI d'Ille et Vilaine : organisatrice de la réunion "Découvrir le statut de micro-entrepreneur" sur comment créer son entreprise

J’ai trouvé cette réunion très intéressante, et elle m’a permis de me rendre compte que j’aurais un choix à faire sur le type d’activité que je voudrais faire.
En effet, pour toute activité artisanale, il s’agit d’être déclarée auprès de la Chambre de métiers et de l’artisanat. Moyennant un diplôme type CAP et de faire un stage à l’installation (SPI). Dans le cadre d’une activité commerciale ou de service, je peux déclarer ma micro-entreprise auprès de la CCI.

Fongecif Bretagne

Le statut artisanal me tentant bien, c’est naturellement que je me suis renseignée sur le CAP « Couture flou ».
Dans un deuxième temps, j’ai donc pris rendez-vous au Fongecif. J’avais pour objectif de me renseigner sur le CIF (Congé Individuel de Formation), devenu maintenant le CPF de transition pour pouvoir passer le CAP « Couture flou ». Ce CAP étant disponible près de chez moi via le GRETA au Lycée des métiers Louis Guilloux de Rennes. J’ai vite été déçue par l’issue du rendez-vous quant à mon projet : j’ai visiblement un niveau d’étude trop élevé (BTS), et j’aurais très peu de chance que mon dossier soit retenu.

BGE Ille et Vilaine : Accompagnateur à la création d’entreprise

Lors du rendez-vous, on m’a néanmoins proposé de déposer un dossier pour bénéficier d’un accompagnement sur mon projet de création d’une microentreprise par BGE Ille et Vilaine. J’ai donc tenté ma chance et mon dossier a été retenu.
J’ai alors démarré un parcours de 8 rendez-vous avec une conseillère BGE pour définir mon projet, l’offre que je pourrais proposer, créer un business plan, analyser la concurrence, faire un questionnaire sondage, connaître la réalité du statut de micro-entrepreneur… Tout ça dans le but de vérifier le réalisme de mon projet et ma capacité à l’assumer.

J’ai trouvé ça très intéressant, même si depuis je n’ai pas sauté le pas de faire ma déclaration. La raison ? Des enfants prenants, un travail prenant, une maison avec des travaux… Et surtout envie d’être sûre de faire le bon choix. De me lancer dans un projet qui me correspond à 100% et d’avoir assez de temps à lui consacrer. J’avoue que le CAP couture me reste en tête avec toujours l’envie de faire les choses bien et de qualité. J’ai acheté le livre « Passez votre CAP couture avec Artesane.com: Programme progressif sur 9 mois », je garde ce projet un peu fou dans ma tête et je me dis pourquoi pas le passer en candidat libre ! Pour le moment, les cours de ce livre m’aident à améliorer ma technique de couture.

Livre "Passez votre CAP couture avec Artesane.com: Programme progressif sur 9 mois "

Une histoire de colibri

Quand je réfléchis à ma façon d’aborder mon travail, je pense au livre Mange, Prie, Aime. Outre le fait que je l’ai adoré et le film également, j’ai écouté une interview de son auteure Elizabeth Gilbert qui a une théorie très intéressante qui m’a tout de suite parlé.
Elle dit que le monde est divisé en deux types de personnes. Il y a les colibris et les marteaux-piqueurs. « Étrange », me direz-vous.
Elle définit le marteau-piqueur comme quelqu’un qui se consume de sa passion, elle se considère comme tel. Elle explique sur ce type de profil : « Nous ne levons pas les yeux et nous ne virons pas, et nous nous concentrons sur cela jusqu’à la fin des temps ».
Et, il y a le colibri, l’oiseau coloré qui virevolte. L’image m’a tout de suite fait sourire car je me reconnais. Les colibris passent leur vie à le faire très différemment. Ils se déplacent d’arbre en arbre, de fleur en fleur, de champ en champ … Essayer ceci, essayer cela.
Ce n’est pas être inconstant selon moi, c’est juste être curieux de tout et avoir envie de tout tester.
Elizabeth dit justement : « Si vous pouvez laisser aller la passion et suivre votre curiosité, votre curiosité pourrait bien vous conduire à votre passion. ».

J’ai lu un article très intéressant intitulé: « Pourquoi vouloir vivre sa passion n’est pas toujours suffisant ». Si vous avez un peu de temps, je vous invite à le lire.

Côté lecture, j’ai trouvé le livre « Comme par magie, vivre sa créativité sans la craindre » de Elizabeth Gilbert duquel je vous ferais un retour de ma lecture.

Livre "Comme par magie, vivre sa créativité sans la craindre" de Elizabeth Gilbert

Mon entreprise à moi, demain ou après…

Je rêve de pouvoir réduire mon activité salariée, et de lancer cette deuxième activité qui me motive. J’aimerais, comme on dit beaucoup en ce moment, devenir une slasheuse, mon côté colibri peut être ;-). Pourquoi ? C’est un mode de vie qui, d’après les lectures que j’en fait, pourrait me convenir :

  • Moins de lassitude au boulot car toujours de la nouveauté ;
  • L’envie de créer une entreprise, d’avoir plus de responsabilités, de tenter l’aventure.

C’est dans cette optique du « doucement mais sûrement » que j’ai crée ce blog pour commencer à vous présenter mon univers et pour pouvoir vous proposez des services de qualité et qui pourrait me permettre de vivre de ma passion.

N’hésitez pas à me donner vos avis et vos commentaires 🙂

See you soon !

C’est quoi une maille ?

Temps de lecture : 4 minutes

Coucou mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 😉
J’ai décidé aujourd’hui de vous proposer un tutoriel pour débuter le tricot, c’est à dire pour « monter les mailles » sur votre aiguille. Mais au fait, c’est quoi une maille ?

Et bien, quand on tricote, on part d’une pelote de laine, et donc d’un fil pour fabriquer une étoffe. C’est le même principe que pour le tissage, qui lui utilise deux sortes de fabrications :

  • Le « chaîne et trame » est l’appellation qui correspond à tout ce qui est tissé sur un métier. Une fois le fil de chaîne installé, une navette passe sur ou sous les fils de chaîne pour former l’étoffe. C’est un tissu qui ne se détend pas en général. A l’exception du jean stretch, grâce à l’ajout d’élasthanne dans la trame. On peut reconnaître ce type de tissu grâce au motif crée, voici un exemple :
  • La maille, quant à elle, n’utilise qu’un seul fil qui à chaque rang, vient s’accrocher au rang précédent par un système d’entrelacs, ce qui lui donne élasticité et souplesse. C’est le principe du tricot. On reconnaît ce tissu, outre le fait qu’il se détende, au motif bien particulier :

Si vous regardez les vêtements que vous portez, vous verrez la différence. Je vous parlerais dans un autre article, du droit fil dans un tissu, du pourquoi et du comment y faire attention pour couper ses pièces de patron.

Les mailles sont, donc, des boucles passées l’une dans l’autre. Les mailles actives sont tenues sur des aiguilles jusqu’à ce qu’elles puissent être bloquées par le passage d’une nouvelle maille à travers elles.

Pour démarrer votre ouvrage, il va donc falloir apprendre à « monter vos mailles » sur l’aiguille. Je vais vous donner une méthode. Vous pourrez en trouver d’autres.

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Matières premières certifiées: vraiment écologiques ?

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Coucou mes lecteurs, ravie de vous retrouver ! 🙂 Comme je vous l’ai dit dans mon article précédent, j’aime fabriquer beaucoup de choses moi-même, et j’ai une sensibilité à mon impact sur l’environnement dans tous les aspects de ma vie : j’ai commencé à faire mes produits ménager, je cuisine beaucoup, exit les produits ultra-transformés chez nous ou du moins, nous essayons de les limiter au maximum. En me renseignant un peu, j’ai découvert que l’industrie textile est la deuxième industrie la plus polluante. Comment faire pour fabriquer des lingettes ou des serviettes lavables écologiques en sachant l’impact qu’à l’achat du tissu nécessaire pour les fabriquer ?

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